Depuis 2022, François Leite développe au sein de son Atelier une production architecturale à dimension environnementale dans laquelle l’attention au détail constructif révèle les synergies qui existent entre contexte, matérialité et savoir-faire. Architecte HMONP diplômé de l’école Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles, il étudie à la Facultad de Arquitectura, Diseño y Urbanismo de Buenos Aires avant de collaborer durant plusieurs années au sein des agences Devillers & associés et LAQ. Aux côtés d’équipes pluridisciplinaires il dirige des projets urbains à la croisée les thèmes de l’habitat, de la ville et des enjeux de durabilité, développant ainsi une expérience en gestion de projets complexes.

Installé entre Porto et Paris, l’Atelier François Leite-Architecture imagine des lieux et objets vivants au service d’atmosphères uniques, où la matérialité s’exprime avec radicalité. Conciliant art et architecture, François Leite aborde aujourd’hui une pratique pluridisciplinaire qui explore les différentes formes et échelles de l’Habitat.

L’Atelier François Leite Architecture envisage l’architecture par le prisme de sa durabilité interrogeant l’emploi des matériaux pour leur qualités intrinsèques – isolantes, structurelles, perspirantes – et leur modularité. Les projets puisent leurs intentions dans un contexte géographique et patrimonial afin de concilier des aspirations vernaculaires locales à une conception architecturale contemporaine et bioclimatique. Systèmes passifs de ventilation, éclairage naturel, gestion de l’eau et soin porté au végétal sont au centre de sa démarche conceptuelle. Au-delà d’une approche environnementale, la proximité avec le vivant génère des relations entre intérieur et extérieur particulières : il permet de rafraichir en maintenant un microclimat dans et autour de l’architecture. L’usage de matériaux nobles quant à lui impose un traitement « brut » apparent qui enrichie les espaces de leurs qualités plastiques uniques. Exposés aux variations naturelles des éléments, les matériaux sont choisis pour leur capacité à se patiner et « s’imprégner » – métaphoriquement autant que physiquement – d’un contexte bâti et vivant.